Un homme sans une femme n’est qu’un demi-homme.

La femme, c’est l’inspiration

Un homme sans une femme n’est qu’un demi-homme.

(CCM, 2018)

La mujer es la mitad del hombre.

A muller é a metade do home.

Variante

A muller é a mitá do home.

(Sesto López, 1976: 34)

L’homme n’est pas à même de développer par lui-même tout son potentiel ; il précise du soutien et de la collaboration d’une épouse.

De novo, segundo Quitard (1861: 87), podería derivar do versículo bíblico antes citado “C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme; et ils seront deux dans une seule chair.” (Génesis: II, 24)

A estrutura sintáctica encerra unha adversativa exclúente. Neste sentido, a séquence n’est que resulta máis expresiva que outras posibles alternativas, tales como seulement.

L’équivalence su sens est pleine, même si les deux proverbes s’expriment à l’inversel’un de l’autre.

Le proverbe met en évidence le besoin pour l’homme de compter sur la femme pour pouvoir se développer personnellement et professionnellement, tout le contraire de ce qu’on peut penser parfois lorsque, d’un point de vue machiste, on minimise la valeur de la femme par rapport à l’homme.

Le proverbe se construit sur une phrase simple copulative, de grande simplicité et brièveté, ce qui en favorise la mémorisation.

Bien qu’inversement exprimés, les proverbes espagnols et galiciens présentent le même sens que le proverbe français.

Ce proverbe est quelquefois mal interprété quand on prétend qu’il défend la suprématie de l’homme face à la femme. Au contraire, cette parémie affirme que la réalisation de l’homme est due en grande mesure à la femme.

La syntaxe utilise une phrase simple copulative, de grande simplicité et brièveté, deux éléments qui en favorise la mémorisation. On peut observer une allitération du phonème nasal bilabial qui en accroît la sonorité.